Le plus grand. Immortel. Imbattable. Cannibale.
Il est rare qu'un athlète ait un tel impact sur le sport, une telle domination, qu'il transcende le sport. Parfois, plusieurs fois par décennie, émerge un homme ou une femme qui gagne plus que les autres et qui est souvent estampillé Flandrien, Berggeit, Kopman. Mais tout gagner, sur tous les terrains, n'est plus une évidence. Il n'y en a eu et il n'y en a qu'un seul. 525. Hommage donc à un DIEU du cyclisme, imbattable et dévastateur partout.
Quelle perte
bien que je sois aussi presque garé sur notre 2ème moitié de vie, je n'ai malheureusement jamais pu vivre ce phénomène en direct.
Nickname
#cannibal est sans doute ce qui vient à l'esprit de tout le monde lorsqu'on lui demande son surnom, en référence à sa façon de courir. Impitoyable avec l'adversaire, avec un appétit insatiable pour la victoire.
Le tambourin des pédales est sans doute moins connu.
Il s'agit d'une référence à Timur dans la pièce de Christopher Marlowe, Tamburlaine le Grand. Il avait l'habitude de construire des tours avec les têtes coupées de ses victimes. Apparemment, 525 n'était pas très heureux de ce surnom.
Les phrases les plus emblématiques
"Je n'ai jamais couru pour la gloire. J'ai roulé parce que j'aime pédaler et gagner".
"Conduisez autant ou aussi peu, aussi longtemps ou aussi brièvement que vous le souhaitez, mais conduisez."
"Quand ça fait mal, on peut faire la différence."
"Les cadeaux sont offerts à Noël et aux anniversaires, pas dans les courses cyclistes.
Le cyclisme est un sport difficile. Il faut avoir du talent. Il faut travailler dur. Vous pouvez avoir du talent, mais si vous ne travaillez pas dur, vous ne gagnerez jamais un match."
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